Chez Vélo Cartel, notre objectif est toujours d’accompagner les cyclistes qui prennent leur pratique au sérieux en leur offrant le service que nécessite leur passion : le meilleur.
Il en va de notre accompagnement dans l’achat de votre équipement et de vos vêtements comme de l’entraînement.
À la tête de notre nouvelle équipe de coaches, Bruno Langlois fait figure de modèle et de mentor.
L’ex-professionnel participait encore l’an dernier au Tour de Beauce pour une énième fois (il détient le record!) et fait partie de l’équipe internationale de course de gravel de Pas Normal Studios.
Ses connaissances de la performance physique s’appuient autant sur son expérience de coureur que sur des bases académiques solides.
Bachelier en kinésiologue à l’Université de Sherbrooke, celui qu’on surnomme Coach Bru a emprunté, pendant ses études, la voie de l’encadrement d’athlètes de haute performance. « Mais j’ai une vision plus large, insiste-t-il, parce que je comprends qu’on n’entraîne pas non plus des gens qui ne sont pas des professionnels de la même manière qu’on le fait avec des gens qui y consacrent toute leur vie. »
Il nous explique ici pourquoi la salle d’entraînement de Vélo Cartel, notre équipe de coaches et la manière dont ses entraînements sont conçus conviennent parfaitement pour aiguiser votre forme et débuter votre prochaine saison estivale sur les chapeaux de roue.
S’il fallait faire ton pitch de ce qu’est l’entraînement au Vélo Cartel en quelques mots, tu le décrirais comment?
C’est un lieu pour s’améliorer en profitant de l’effet de groupe, d’un système à la fine pointe de la technologie, mais surtout aussi d’une équipe professionnelle, que je forme moi-même, et qui propose des entraînements qui s’appuient sur tout ce que la science du sport a à offrir.
J’ajouterais aussi ceci : c’est vraiment efficace. L’entraînement dure une heure. Tu prends ta douche, tu pars avec ton smoothie de récupération, et hop tu peux retourner à ta vie.
Comment décrirais-tu ton approche générale dans ta manière de concevoir tes entraînements sur une saison intérieure complète?
J’ai une philosophie de planification inversée. Historiquement, on passait l’hiver à faire du volume à basse intensité, puis plus on s’approchait de nos objectifs de saison, plus les entraînements devenaient intenses et spécifiques. Sauf que faire des heures de rouleau à basse intensité, c’est ennuyant. Et au fond, ce que veulent nos abonnés, c’est d’affûter leur forme en prévision de la saison à venir. Alors on profite de l’hiver, avant tout, pour bâtir notre puissance, donc principalement notre Vo2Max.
Mais on ne fait pas que ça…
Non, non! On travaille toutes les filières dans une même semaine : de toute manière, on ne peut pas donner son meilleur et se défoncer jour après jour sans se brûler. Ce qui est intéressant chez nous, c’est qu’on apprend à connaître notre gang, on les accompagne dans leur progression, on les teste et on regarde avec eux quelles sont leurs forces et leurs faiblesses. Après, on s’assure de les suivre tout au long de la saison, et à chaque entraînement afin qu’ils tirent le meilleur de leur entraînement.
Les améliorations que vous cherchez à obtenir avec vos membres, c’est une augmentation de puissance dans toutes les filières (vo2Max, tempo, sweet spot, zone 2…) tout au long de la saison intérieure?
Pas seulement, non. C’est important d’en profiter pour pratiquer sa cadence, différentes positions sur le vélo (afin d’être plus aérodynamique, par exemple, tout en déployant beaucoup de puissance, ce qui demande de la souplesse), et je suis d’avis qu’il faut surtout travailler les choses dans lesquelles on est le moins bon. On trouve des moyens créatifs de le faire.
Qu’est-ce qui est le principal facteur de motivation chez les membres de Vélo Cartel?
L’effet de groupe, c’est scientifiquement prouvé, nous rend meilleurs. On se donne rarement autant tout seul dans son sous-sol. Mais je pense que ce que les gens apprécient le plus, c’est que mes connaissances me permettent de construire des entraînements sur un arc de plusieurs mois qui favorise leur progression, sans qu’ils aient besoin de se casser la tête.
C’est-à-dire?
Tu te pointes à tes deux ou trois entraînements par semaine et tu exécutes le programme en sachant que tout ce qu’on fait ici est réfléchi, a du sens, est conçu pour assurer la progression. Tu peux aller chercher ton volume (qui est aussi très important) en ski, en course à pied, en fatbike, en faisant du rouleau chez toi. Mais quand tu viens ici, tu sais que ça va pincer et que tu viens chercher la petite coche de plus pour aiguiser ta forme.
Le rôle des coaches dans tout ça, c’est quoi?
Il est super important. On a mis beaucoup d’efforts pour monter une équipe de gens motivés et compétents, hommes et femmes. Tous nos coaches sont ou ont été des coureur.euses cyclistes. Ils et elles ont été formés par moi pour notre système. Je leur transmets l’information importante à propos des entraînements de la semaine et ils expliquent avant chaque séance à quoi ils servent et comment on va stimuler telle ou telle filière ce jour-là.
L’autre chose, c’est qu’on surveille notre monde. On ajuste leur effort selon ce qui se passe. Il y a aussi des entraînements qui sont faits pour échouer, donc on identifie ceux qui les réussissent et on les incite à relever leur niveau d’un cran (monter leur FTP). Dans un environnement moins bien structuré, ça n’arrivera pas, tu vas t’entraîner avec les mêmes valeurs tout l’hiver et tu ne progresseras pas.
À quel genre d’accompagnement on peut s’attendre, sinon?
D’abord, on fait des tests pour savoir où nos clients se situent. On ajuste leurs valeurs en conséquence, on détermine avec eux leurs objectifs et on détermine avec eux les entraînements, chaque semaine, qui sont les plus payants pour eux.
Il y a plusieurs athlètes professionnels qui ont bénéficié de tes services au fil du temps.
Pour les cyclistes qui voudraient aller un peu plus loin et tester plus à fond leurs capacités, qu’est-ce que tu offres comme services?
Je fais du coaching personnalisé, ce qui peut comprendre toutes sortes de suivis, donc des tests de pyramide, des tests de lactate. Ce sont des méthodes qui permettent de déterminer avec plus de précision les zones d’entraînement, de mieux concevoir leurs entraînements et de faire des suivis trimestriels pour mesurer leur progression.