L’environnement. Vous êtes sorti·e de la maison, ce n’est pas pour faire les choses à moitié. La salle de première qualité. L’équipement de pointe. La musique à fond. Les encouragements de l’entraîneur. Tous ces éléments combinés vous poussent à faire des efforts plus importants que si vous étiez seul·e dans votre salon ou votre sous-sol.
La motivation. Vous avez pris rendez-vous, et déjà, c’est suffisant pour vous éviter de sauter un entraînement dont vous savez qu’il sera exigeant. À la maison, il y a mille distractions et petits moments de lâcheté qui nous guettent et menacent de nous pousser à faire autre chose. En allant au Cartel, vous vous assurez de faire le meilleur effort possible parce que vous ne voulez pas vous être déplacé·e inutilement.
L’effet d’entraînement. Tout le monde souffre avec vous, en même temps. Malgré la musique et le son des rouleaux, vous entendez des grognements. Du coin de l’œil, vous voyez les visages défigurés par l’effort. En forçant ensemble, tous les membres du groupe ont le sentiment de participer à une sorte de lutte commune. On s’encourage, on se félicite. La pression des pairs est ici un appel à tout donner, comme s’il s’agissait aussi de respecter le sérieux de la démarche des autres en l’appliquant à la sienne.